Comment Avorter Paris ?

Pour avorter en toute sécurité à Paris, il est essentiel de consulter un médecin ou une sage-femme. Vous pouvez choisir entre l’IVG médicamenteuse (jusqu’à 9 semaines d’aménorrhée) ou l’IVG chirurgicale (jusqu’à 16 semaines d’aménorrhée). L’IVG est totalement prise en charge par l’Assurance Maladie.

À Paris, plusieurs établissements pratiquent l’IVG : hôpitaux publics (Cochin, Tenon, Saint-Antoine), centres de planning familial, centres de santé municipaux et cabinets médicaux. Vous pouvez appeler le numéro vert national <strong>0800 08 11 11</strong> pour obtenir des informations sur les délais et les disponibilités.

En France, l’IVG est autorisée jusqu’à <strong>16 semaines d’aménorrhée</strong> (14 semaines de grossesse). Pour une IVG médicamenteuse, le délai maximal est de <strong>9 semaines d’aménorrhée</strong>. Plus vous agissez tôt, plus vous aurez d’options.

Le choix entre IVG médicamenteuse et IVG chirurgicale dépend de l’âge de la grossesse, des préférences personnelles et des recommandations médicales. L’IVG médicamenteuse est non invasive et se fait à domicile sous supervision médicale, tandis que l’IVG chirurgicale est réalisée dans un établissement de santé avec une intervention courte.

Oui, l’IVG est <strong>entièrement remboursée</strong> par l’Assurance Maladie pour toutes les femmes, qu’elles soient majeures ou mineures. Les femmes en situation irrégulière peuvent être prises en charge via l’<strong>Aide Médicale d’État (AME)</strong>.

Vous pouvez prendre rendez-vous directement auprès d’un centre de santé, d’un hôpital ou d’un cabinet médical. Le site officiel <a href="https://www.ivg.gouv.fr/" rel="nofollow noopener" target="_blank">www.ivg.gouv.fr</a> permet de trouver une structure adaptée.

Après une IVG, un suivi médical est recommandé dans les 14 à 21 jours pour s’assurer que tout s’est bien déroulé. Il est aussi conseillé de discuter de la contraception pour éviter une grossesse non désirée.

Après une IVG, des saignements, des douleurs abdominales et de la fatigue sont fréquents. Ces symptômes disparaissent généralement en quelques jours. En cas de fièvre ou de douleurs intenses, il est important de consulter un médecin.

Oui, une mineure peut avorter sans autorisation parentale. Toutefois, elle doit être accompagnée par un adulte de confiance (ami, membre de la famille, professionnel de santé).

Oui, il est possible d’avorter sans carte vitale. Les hôpitaux peuvent proposer une prise en charge via l’<strong>Aide Médicale d’État (AME)</strong> ou d’autres dispositifs d’urgence.

Les risques sont faibles mais, comme toute intervention, des complications peuvent survenir (saignements abondants, infections). Un suivi médical est recommandé après l’IVG pour s’assurer que tout va bien.

Un professionnel de santé vous conseillera sur la meilleure méthode contraceptive selon votre situation. Vous pouvez reprendre une contraception immédiatement après l’IVG.

Oui, sous certaines conditions. L’IVG médicamenteuse peut être réalisée à domicile après prescription médicale, avec un suivi à distance ou en consultation.

Si vous ressentez le besoin d’en parler, vous pouvez contacter le <strong>Planning Familial</strong> ou appeler le numéro vert <strong>0800 08 11 11</strong> pour un soutien anonyme et gratuit.

La loi garantit le droit à l’IVG en France jusqu’à 16 semaines d’aménorrhée. Aucune justification n’est nécessaire, et l’intervention est prise en charge par l’Assurance Maladie.

Il est essentiel d’adopter une contraception adaptée dès la fin de l’IVG. Consultez un professionnel de santé pour choisir la méthode qui vous convient le mieux.

Le second médicament (<strong>misoprostol</strong>) est pris <strong>24 à 48 heures après</strong> la prise du premier (<strong>mifépristone</strong>), afin de provoquer l’expulsion de l’embryon.

Pour des informations officielles, consultez le site <a href="https://www.ivg.gouv.fr/" rel="nofollow noopener" target="_blank">www.ivg.gouv.fr</a> ou contactez un centre de planning familial à Paris.